mardi 14 juillet 2015

Concert le jeudi 16 juillet à 19.30 à l'hôtel L'IMPERATOR Nîmes












ARTS QUARTET & SANDIE SAFONT
Hommage à STAN GETZ
JAZZ & BOSSA NOVA


Stan Getz est considéré comme l’un des plus grands joueurs de saxophone ténor. Stan à joué aux cotés des plus grands, Chet Baker, Dizzy
Gillespie, Oscar Peterson… Mais il est surtout connu du grand public pour avoir enregistré en 1963 le fameux album Getz /Gilberto et notamment une version du standard de Tom Jobim et Vinícius de Moraes : A Garota de Ipanema qui deviendra en anglais The Girl from Ipanema et sera la version de ce morceau la plus connue et la plus jouée sur les radios. Arts Quartet nous invite à re-découvrir cet artiste en évoquant à la fois la période west coast et be-bop de Stan Getz mais aussi toute sa période brésilienne grâce à la présence de la chanteuse Sandie Safont qui interprètera les plus grands stantards de la bossa nova. Avec Patrick Torreglosa (sax ténor), Philippe Rosengoltz (piano), Michel Altier (contrebasse) et Michael Santanastasio (batterie).









Exposition Delphine Dardare sculptures et
Ton van Meesche aquarelles de jazz

Quand j’écoute de la musique classique, je trouve qu’il y a une synergie avec la peinture à l’huile. Les synergies existent dans la technique et la perfection pour les deux arts : les artistes y arrivent après de très longues études. La technique se retrouve dans la connaissance et la façon de jouer son instrument, la partition est “prescrite” et, par des multiples répétitions, on obtient la perfection, comme le compositeur l’a voulu ! Pour la musique de jazz c’est complètement différent, il y a des accords et un certain sens de l’harmonie, mais cette musique s’exprime surtout dans l’improvisation et la créativité. Cette curieuse combinaison se retrouve chez des musiciens confirmés, qui ont acquis une parfaite connaissance de leur instrument. Le jazz s’exprime souvent par la liberté instantanée: tout se passe au moment présent, pendant que le musicien joue. C’est ainsi que souvent, pendantune “jam-session” en plein solo, il est très difficile de s’arrêter.”

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