JAZZ à la Galerie Chez moi, Chez toi, 9, rue Gauthier Nîmes le dimanche 30 mars à 18h
PAF 8€ / 10€
LE TRIO D’ARROSAGE
- Pierre PEYRAS : Contrebasse et tuba.
- Michel BACHEVALIER : Batterie de percussions.
- François TIOLLIER : Saxes
Jazz Méridional
Ces trois artistes dont la forme d’expression de prédilection est le jazz concrétisent leur réflexion en participant dans la démarche « cafarnalesque » à l’expression originale d’une recherche artistique puisant dans la vie de tous les jours l’essence du voyage et de l‘imaginaire. Le trio, créé au cours de l’hiver 2003 dans le cadre des soirées « la beauté de l’éphémère » à Nîmes, conforte une direction, une dimension très picturale, par sa forme orchestrale dénuée d’instrument harmonique. Une musique très mélodico-rythmique.
«… Cette musique sent bon le Sud, la garrigue, l’apéro du soir.
Le soleil se couche sur une guinguette nichée sur les hauteurs de Nîmes. C’est là que le batteur percussionniste Michel Bachevalier et sa drôle de tribu de cafarnaliens ont élu domicile. Ici, l’amitié n’est pas un vain mot : on sait dialoguer, vivre l’instant présent, jouer avec simplicité et complicité…
Le trio d’arrosage mérite que l’on s’y attarde…. Qu’elle prenne source chez Paquito D’Rivera, Dexter Gordon, Art Pepper, dans des airs traditionnels ibériques (La Pasionaria que l’on est heureux de retrouver ici) ou dans d’efficaces compositions originales, la musique du trio n’est jamais ennuyeuse. Tantôt profonde et habitée (A pas de Jules), tantôt festive et enjouée (No Problemo, L’apéro), elle arpente de vastes horizons, gambadant désormais joyeusement dans nos mémoires. A consommer sans modération… »
Luc Bouquet, Chronique Jazz Break
vendredi 28 mars 2014
samedi 22 mars 2014
Tricia Evy Trio au théâtre Christian Liger, le vendredi 28 mars à Nîmes
mardi 18 mars 2014
Soirée blues: Sommières le vendredi 28 mars
Vendredi 28 Mars
SOMMIERES - Gard
Vendredi 28 Mars à 20h30
Espace Lawrence Durrell
MATHIS HAUG et RAPAHEL LEMONNIER
Mathis Haug (guitare, voix), Raphaël Lemonnier (piano), Lilian Bancini (basse), Fred Pasqua (batterie)
Né de la rencontre de deux musiciens languedociens bien connus de la scène internationale jazz et blues, Raphaël Lemonnier et Mathis Haug partagent une envie commune de mélanger les genres, et de composer des chansons s'inspirant de l'esprit des grands maîtres du genre allant de Ray Charles à Tom Waits, de Kenny Burell à BB king, de Fats Waller à Dr John en y ajoutant leur touche personnelle.
On y retrouve des ballades, chansons swing, twists, boogie rock, mambos, blues...
Le groupe fera une intervention et un mini concert pour les élèves des écoles de Sommières dans l’après-midi. Et l'orchestre jazz du collège de Sommières présentera des extraits de son nouveau spectacle en première partie accompagné de Raphaël Lemonnier !
VENDREDI 28 MARS
Sommières, Espace Lawrence Durrell, 20h30
Tarifs : 15 euros / 13 euros (adhérents)
Renseignements et préventes : 04 66 52 52 64
dimanche 16 mars 2014
16 mars 1955. Un amour qui se refuse pousse le peintre Nicolas de Staël à se suicider. Gâchis.
Une passante remonte la minuscule rue du Revely, derrière le port d'Antibes. Elle distingue une masse sombre sur le trottoir. En s'approchant, elle découvre avec horreur le cadavre d'un homme vêtu d'une chemise, d'une veste et d'un pantalon bleu. Aux pieds, il porte une paire d'espadrilles. Elle s'affole, appelle à l'aide. Il semble avoir été la victime d'une chute. On lève la tête. On aperçoit une terrasse. Il a dû sauter de là. Cet homme doit être le peintre qui s'est installé dans la maison en octobre dernier. Effectivement, cet homme mort, c'est Nicolas de Staël, 41 ans.
http://www.lepoint.fr/c-est-arrive-aujourd-hui/16-mars-1955-splash-le-peintre-nicolas-de-stael-atterrit-trop-brutalement-sur-le-trottoir-16-03-2012-1441804_494.php
vendredi 14 mars 2014
Christian Brazier Quartet à Nîmes Ever'in le vendredi 21 mars
« NOUVELLE VAGUE »
Avant la création de l’Association Le Jazz Est Là en 2009, son président avait déjà invité, dans un autre contexte, en avril 2008, le quartet du contrebassiste et compositeur Christian Brazier avec « Circumnavigation » qui fut enregistré quelque temps après. L’hommage rendu au navigateur et écrivain Bernard Moitessier avait marqué le public par l’harmonieuse cohérence d’une musique libre et belle aux mélodies fines et chantantes. Sur l’album, largement salué par la critique, S. Baudot écrivait dans Jazz-Hot en 2010 : « Naviguons sur les vagues légères des rythmes brazériens, aux embruns des mélodies suaves, aux aventures musicales qui toujours chez Brazier cultivent la beauté…».
Christian Brazier revient avec pratiquement le même équipage composé de musiciens aux fortes personnalités dont la complicité s’est renforcée au fil des concerts avec sa dernière création « Nouvelle Vague », faisant référence à l’époque de la nouvelle vague où un vent de liberté et de nouveauté soufflait sur la création qui est la source d’inspiration principale de ces nouvelles compositions. L’album vient d’être tout récemment enregistré au Studio la Buissonne, enregistrement auquel Le Jazz Est Là a eu le bonheur d’assister, savourant le jeu mélodique, fin et chantant de Christian Brazier avec le toujours magnifique et si personnel son du trompettiste Christophe Leloil, le jeu fluide de la pianistePerrine Mansuy dont les évolutions sur le clavier amplifient les émotions que provoque l’ensemble soutenu par la frappe rigoureuse et fine du batteur Dylan Kent (originaire d’Australie et compagnon de route de nombreux musiciens internationaux) pour des rythmes légers et enlevés.
Sans attendre la sortie de l’album, réjouissons-nous à l’idée de pouvoir écouter cette formation dès maintenant dans le cadre de l’Ever’in qui sera parfaitement adapté pour ce quartet de jazz acoustique.
Réservation conseillée : lejazz.estla@laposte.net / 04 66 64 10 25
PROCHAIN CONCERT : Vendredi 18 Avril 21h
Tom Mc Clung Matyas Szandaï Mourad Benhammou
piano contrabasse batterie
piano contrabasse batterie
jeudi 13 mars 2014
Université Paul Valery Montpellier 3 le jeudi 20 mars à 12.15
Concert des musiciens présents au festival Jazz à Junas 2013
20/3/14 |J.ALLOUCHE & J.ROSSY
Joël ALLOUCHE invite Jorge ROSSY
Jorge Rossy : piano / Joël Allouche : batterie / Gabrielle Koehlhoeffer : contrebasse
Jorge Rossy : piano / Joël Allouche : batterie / Gabrielle Koehlhoeffer : contrebasse
Depuis de nombreuses années la collaboration des Jeudis en Musique avec le batteur percussioniste Joêl Allouche a donnée naissance à de nombreux projets souvent inédits et des rencontres musicales dont certaines se sont prolongées bien au delà. Cette année encore c’est un nouveau projet initié par Joël qui va voir le jour sur la scène des Jeudis avec un instrumentiste hors pair dont le nom a été associé a quelques uns des plus grands musiciens de l’histoire du jazz. Révélé sur la scène internationale dans le trio du pianiste américain Brad Mehldau où il officiait à la batterie, la carrière de Jorge Rossy pris un nouveau tournant au début des années 2000 avec un retour à Barcelone et l’envie de se consacrer musicalement à un autre instrument, le piano. C’est donc comme pianiste que nous accueillerons aux cotés de Joël Allouche et de la jeune contrebassiste Gabrielle Koehlhoeffer un des musiciens phares de la scène jazz contemporaine… mais quand deux batteurs se rencontrent cela peu à coup sûr réserver quelques surprises !…
Partager la scène avec un autre batteur n’est pas courant, bien que cela me soit arrivé dans le quartet du percussionniste Pierre Favre. Imaginons cette fois que le batteur soit aussi pianiste…. J’ai découvert Jorge Rossy à la fin des années quatre-vingt-dix dans le trio de Brad Mehldau et son jeu brillant et inventif m’a tout de suite séduit. J’ai suivi son parcours et l’ai souvent vu sur scène aux côtés des plus grands : dans le quartet de Wayne Shorter ou avec la formation de Steve Swallow et Carla Bley. Nous nous sommes croisés lors de l’édition 2013 du Festival «Jazz à Junas» et nous nous sommes rendus compte au fil de la discussion que nous étions «voisins», Jorge Rossy étant depuis quelques années établi à Barcelone. L’idée d’une collaboration s’est alors esquissée et la saison des Jeudis en Musique de l’université Paul-Valéry m’a semblé l’endroit idéal pour lancer ce projet et accueillir cette grande figure du jazz contemporain à Montpellier. J’ai convié pour l’occasion la jeune et talentueuse contrebassiste Gabrielle Koehlhoeffer qui partage la plupart de mes derniers projets. – Joël Allouche
Toots Thielemans
Toots Thielemans met un terme à sa carrière musicale
Jean-Claude Vantroyen
Mis en ligne
Mis en ligne
Tous les concerts prévus sont annulés.
On avait pris l’habitude de voir régulièrement « notre » Toots Thielemans national promener sa moustache, son sourire, son harmonica et son gigantesque talent sur les grandes scènes du monde entier. Il faut dorénavant laisser cette phrase au passé : Toots a pris la difficile décision de mettre fin à sa carrière musicale. Toute sa carrière musicale : fini les scènes, fini les enregistrements de disques. A 91 ans (92 le 29 avril), estime qu’il est temps de dire stop. Il avait encore un concert ce jeudi à De Roma, près d’Anvers, puis le 20 mars et le 6 mai à Ekeren. Tous ces engagements sont annulés.
Toots est-il malade ?
« Pas du tout », répond Veerle van de Poel, sa manager. « Il est en bonne forme, les médecins le lui ont encore affirmé il y a peu. Mais son énergie est maintenant limitée. Et il a peur de ne plus pouvoir faire des concerts de qualité. C’est pour cela qu’il a décidé d’arrêter. Il ne veut pas décevoir son public, il veut que la qualité de ses concerts soit constante et il est paniqué à l’idée de ne pas pouvoir honorer cette ambition-la. Alors, il a préféré arrêter. » Définitivement ? Veerle van de Poel affirme que oui : il ne reviendra plus sur scène ni dans un studio d’enregistrement.
Très triste
Toots Thielemans est très affecté par la décision qu’il a dû prendre. Il est très triste. Car la musique, c’est sa vie. Une vie qu’il a commencée dans les Marolles, comme un ket de Bruxelles, et qu’il a menée dans les plus grandes salles du monde en compagnie des plus grands musiciens de jazz. « Je peux affirmer sans hésitation que Toots est un des plus grands musiciens de notre temps. Il joue avec son cœur et vous fait pleurer. On a travaillé ensemble tant de fois que je ne peux les compter et j’ai toujours voulu en faire davantage avec lui. » Une citation signée Quincy Jones.
On ne verra donc plus Toots sur scène, on n’entendra plus ses chorus à l’harmonica, si lyriques et si beaux, on ne le verra plus sourire d’un oeil triste, comme il dit toujours : « Là où je me sens bien, dans ce petit espace entre un sourire et une larme ». Mais sa musique, son « Bluesette », ses interprétations extraordinaires des standards de jazz, restent. Gravés sur disque, gravés dans notre tête et dans notre cœur. C’est le plus bel hommage qu’on puisse lui donner : continuer à l’écouter…
mardi 11 mars 2014
Guillaume Séguron , à la médiathèque Nelson Mandela, Gardanne (13) le samedi 15 mars
Guillaume Séguron // Nouvelles réponses des archives
Communiqué :
- Samedi 15 mars 2014 « Un endroit où aller » Médiathèque Nelson Mandela - Gardanne (13)
Guillaume Séguron // Nouvelles réponses des archives //
« Une voix, des voix… La voix de la contrebasse de Guillaume Séguron se mêle intimement aux voix de ceux qui ont vécu la guerre, l’exil, le chaos. Les voix des Républicains espagnols de La Retirada, la voix du propre grand-père de Guillaume Séguron, qui remplit des carnets pendant la Seconde Guerre Mondiale. On y parle occitan, catalan et la contrebasse n’est pas un simple accompagnement. Elle chuchote, vibre, crie, lie entre elles ces bribes de mémoires qu’il ne faut pas oublier, parce qu’avant que d’être l’Histoire avec un grand « H », elles sont notre histoire, à nous, humains.
« Les souvenirs pour se souvenir et se souvenir pour ne plus permettre à l’horreur de trôner et pour nous, gagner un peu de notre liberté » © Jean Rochard – label nato – nov 2012.
CD : Nouvelles réponses des archives / Guillaume Séguron (Rude Awakening, 2012).
À lire sur Citizen Jazz : un entretien en trois parties, et la chronique du disque.
Pour ce projet musical, la médiathèque Nelson Mandela et le lycée de Valabre invitent Guillaume Séguron. Un atelier mené avec des élèves hispanisants du lycée agricole de Valabre, Mémoire et actualité de l’exil des républicains espagnols en Provence aura l’occasion de travailler avec le musicien. Ils présenteront le fruit de leur rencontre vendredi 14 mars au lycée.
Médiathèque Nelson Mandela
Bd Paul Cézanne
13120 GARDANNE
04.42.51.15.16
mediatheque-musique@ville-gardanne.ff
- Samedi 15 mars 2014 « Un endroit où aller » Médiathèque Nelson Mandela - Gardanne (13)
« Une voix, des voix… La voix de la contrebasse de Guillaume Séguron se mêle intimement aux voix de ceux qui ont vécu la guerre, l’exil, le chaos. Les voix des Républicains espagnols de La Retirada, la voix du propre grand-père de Guillaume Séguron, qui remplit des carnets pendant la Seconde Guerre Mondiale. On y parle occitan, catalan et la contrebasse n’est pas un simple accompagnement. Elle chuchote, vibre, crie, lie entre elles ces bribes de mémoires qu’il ne faut pas oublier, parce qu’avant que d’être l’Histoire avec un grand « H », elles sont notre histoire, à nous, humains.
« Les souvenirs pour se souvenir et se souvenir pour ne plus permettre à l’horreur de trôner et pour nous, gagner un peu de notre liberté » © Jean Rochard – label nato – nov 2012.
CD : Nouvelles réponses des archives / Guillaume Séguron (Rude Awakening, 2012).
À lire sur Citizen Jazz : un entretien en trois parties, et la chronique du disque.
Pour ce projet musical, la médiathèque Nelson Mandela et le lycée de Valabre invitent Guillaume Séguron. Un atelier mené avec des élèves hispanisants du lycée agricole de Valabre, Mémoire et actualité de l’exil des républicains espagnols en Provence aura l’occasion de travailler avec le musicien. Ils présenteront le fruit de leur rencontre vendredi 14 mars au lycée.
Médiathèque Nelson Mandela
Bd Paul Cézanne
13120 GARDANNE
04.42.51.15.16
mediatheque-musique@ville-gardanne.ff
lundi 10 mars 2014
SAISON JAZZ A JUNAS 2014, en mois de mars
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dimanche 9 mars 2014
samedi 8 mars 2014
Jazz à Sète
Festival de l'été : découvrez tout le programme de la 19e édition de Jazz à Sète
Midi Libre
08/03/2014, 06 h 00 | Mis à jour le 08/03/2014, 08 h 23
Le festival Jazz à Sète, ragaillardi par la réussite de son édition précédente, proposera sept soirées musicales au théâtre de la mer, du 12 au 19 juillet.
Avec, une fois encore, une palette jazz élargie aux confrères méritants venus de la pop, du rock ou de la tradition flamenca. C’est ainsi que Jeff Beck, rescapé flamboyant du Swinging London, tirera le premier le samedi 12 juillet. L’ex-Yarbirds (si vous voulez savoir à quoi ressemblait le groupe dans les 60’s, courez à l’expo Linda McCartney à Montpellier) est à la fois un guitariste de légende et un musicien qui continue son petit bonhomme de chemin. C’est un grand rendez-vous.
Brad Mehldau, Brad Mehldau, Hiromi Uehara...
Suivront Brad Mehldau et Mark Guiliana (Mehliana) ainsi que l’étonnante pianiste japonaise Hiromi Uehara et son trio project (lundi 14), John Scofield Uberjam Band et Joshua Redman Quartet (là, c’est du lourd, mardi 15), Vicente Amigo et sa bande et le Jean-Pierre Como Quartet (mercredi 16), le soul man Gregory Porter (jeudi 17), ce bon vieux Dr John & the Nite Trippers et Jonny Lang (vendredi 18), et enfin une belle soirée de chanteuses avec Bettye laVette et Nikki Yanofsky (samedi 19 juillet). La location pour tous ces concerts vient juste d’ouvrir.
Soirée Jazz & Cinéma: le jeudi 20 mars cinema Utopia Montpellier
- (www.cinemas-utopia.org)
Rencontre avec Richard Bois, le réalisateur.
ZICOCRATIE
Richard Bois - France 2013 - avec le Megaoctet d'Andy Emler, Maryline Martin, Clémentine Autain, Jacques Lanxade, Alain Felce, Patrice Dominguez, Charles Claden, Bruno Scaramuzzino...
Du 20/03/14 au 20/03/14
ZICOCRATIE« Une réflexion savante, émouvante et hilarante sur la démocratie à diffuser de toute urgence sur le petit comme sur le grand écran ». (Franck Bergerot, Jazzmagazine)
Zicocratie se situe à la croisée des chemins entre film musical et documentaire de société. Il pourrait être sous-titré « musique, pouvoir et société ». L’axe de narration consiste à observer l’exercice du pouvoir d’un chef d’orchestre face à « ses » musiciens, en l’occurrence Andy Emler et son Megaoctet (groupe jazz/fusion). Cette observation est réalisée à travers le regard d’intervenants ayant exercé une forme d’autorité dans des domaines totalement étrangers à la musique : ils viennent du tissu économique, du milieu politique ou stratégique, de l’industrie, du sport de haut niveau, du monde urgentiste ou des médias. Ce ne sont pas des mélomanes ou des musicologues, ce qui est intéressant est plus le profil de personnes ayant une analyse des rapports de force qui s’exercent au sein d’un groupe quel qu’il soit. Ils analysent les pratiques du chef d’orchestre et les comparent à leur propre expérience du pouvoir, de la hiérarchie.
Le film se déroule sur une année et suit toutes les répétitions et l’enregistrement du nouveau répertoire du MegaOctet, précédant la sortie de l’album E total, en y intégrant au fur et à mesure les différents intervenants. Le but est de comprendre comment un groupe quel qu’il soit est conditionné par la manière dont le chef pense et réalise son leadership. Quel sens donne-t-il au chemin qu’il trace ? Comment ce sens conditionne l’énergie insufflée ? Comment la priorité non exprimée du leader transparait-elle dans sa façon de diriger ? Quel est le but de ce groupe social ?… son sens ?
mercredi 5 mars 2014
Livres de Jazz
LIVRE
Jazz suprême
(Editions de l'éclat)
Raphaël Imbert définit avec justesse l'urgence créatrice du jazz en débusquant au fin fond des créations, la présence du religieux débarrassé des dogmes. Le jazz se retrouve associé à diverses formes de spiritualité, laquelle emprunte des formes diverses. Celles-ci courent des engagements religieux de Duke Ellington au choix de la franc-maçonnerie par des jazzmen réputés. Les conclusions soulèvent des éléments inédits sur les fondements de l'improvisation. Imbert consacre un chapitre entier à l'amour Suprême de John Coltrane. De surcroît, trop peu d'ouvrages abordent l'humour légendaire des jazzmen noirs. Surtout si le thème du livre tourne autour de la question des grands mystiques du jazz. Pourtant Dieu sait si la question s'avère pertinente. L'auteur reconnaît : «Avant d'être religieux, métaphysique ou mystique, le spirituel dans le jazz est intimement humoristique ». Il cite Duke Ellington (« si vous me demandez une définition du jazz, en gros c'est comme ce genre de type que vous n'aimeriez pas voir fréquenter votre fille »). Ou Charles Mingus : «J'essaye de jouer la vérité de qui je suis. Le difficile, c'est que je change tout le temps». Passionnant.
LIVRE
L'intégrale Nougaro
(Editions de la Martinière)
Chanteur de jazz, Nougaro? Qui en douterait? Le Toulousain écrit les premiers textes à 14 ans, au collège (des poésies, déjà!). L'auteur, Laurent Balandras, raconte les événements et la petite histoire qui ont amené chacune des 300 chansons, ici présentées par ordre chronologique. Il évoque les premiers refrains, au cabaret duLapin Agile à Montmartre, la rencontre haute en couleur avec les chefs d'orchestre Jimmy Walter et Michel Legrand, l'accouchement en dix minutes après une période de détresse intense du titre Nougayork. On en apprend de belles : ainsi de l'hymneToulouse, lequel au départ, ruminait la rancune envers sa ville! Nougaro nous quitta le 4 mars 2004. En connaissez-vous qui ne le regrettent pas ?
http://jazz.blogs.liberation.fr/pfeiffer/2014/03/mars-un-coup-de-jazz-et-%C3%A7a-repart.html
Jazz suprême
(Editions de l'éclat)
Raphaël Imbert définit avec justesse l'urgence créatrice du jazz en débusquant au fin fond des créations, la présence du religieux débarrassé des dogmes. Le jazz se retrouve associé à diverses formes de spiritualité, laquelle emprunte des formes diverses. Celles-ci courent des engagements religieux de Duke Ellington au choix de la franc-maçonnerie par des jazzmen réputés. Les conclusions soulèvent des éléments inédits sur les fondements de l'improvisation. Imbert consacre un chapitre entier à l'amour Suprême de John Coltrane. De surcroît, trop peu d'ouvrages abordent l'humour légendaire des jazzmen noirs. Surtout si le thème du livre tourne autour de la question des grands mystiques du jazz. Pourtant Dieu sait si la question s'avère pertinente. L'auteur reconnaît : «Avant d'être religieux, métaphysique ou mystique, le spirituel dans le jazz est intimement humoristique ». Il cite Duke Ellington (« si vous me demandez une définition du jazz, en gros c'est comme ce genre de type que vous n'aimeriez pas voir fréquenter votre fille »). Ou Charles Mingus : «J'essaye de jouer la vérité de qui je suis. Le difficile, c'est que je change tout le temps». Passionnant.
LIVRE
L'intégrale Nougaro
(Editions de la Martinière)
Chanteur de jazz, Nougaro? Qui en douterait? Le Toulousain écrit les premiers textes à 14 ans, au collège (des poésies, déjà!). L'auteur, Laurent Balandras, raconte les événements et la petite histoire qui ont amené chacune des 300 chansons, ici présentées par ordre chronologique. Il évoque les premiers refrains, au cabaret duLapin Agile à Montmartre, la rencontre haute en couleur avec les chefs d'orchestre Jimmy Walter et Michel Legrand, l'accouchement en dix minutes après une période de détresse intense du titre Nougayork. On en apprend de belles : ainsi de l'hymneToulouse, lequel au départ, ruminait la rancune envers sa ville! Nougaro nous quitta le 4 mars 2004. En connaissez-vous qui ne le regrettent pas ?
http://jazz.blogs.liberation.fr/pfeiffer/2014/03/mars-un-coup-de-jazz-et-%C3%A7a-repart.html
lundi 3 mars 2014
Trio Rue Trivalle à Ganges le jeudi 13 mars
Jeudi 13 Mars
GANGES - Hérault
Jeudi 13 Mars à 21h00
Médiathèque Lucie Aubrac
RUE TRIVALLE
Pierre Diaz (saxophones, voix et objets sonores), Laurent Cavailé (chant, accordéon et percussions), Arnaud Bertrand (musicien du son)
Groupe issu des résidences Jazz en L'R 2012 que nous sommes heureux de proposer en partenariat avec la Médiathèque de Ganges.
Rue Trivalle, c’est tout d’abord un histoire de racines, racines occitanes et espagnoles, de rencontres entre l’univers « traditionnel » de l’accordéoniste et chanteur Laurent Cavalié, celui du saxophoniste de jazz Pierre Diaz et du « manipulateur de sons » Arnaud Bertrand. Entre eux, la musique voyage, rebondit, les langages s’entremêlent avec simplicité et inventivité, comme au coin d’un feu chaleureux.
JEUDI 13 MARS
Ganges, Médiathèque Lucie Aubrac, 21h00
Gratuit pour tous
Renseignements Médiathèque Lucie Aubrac : 04 67 73 84 24
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